jean-michel-mathoniere

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  • en réponse à : Restauration du portrait de Douliot, dit La Pensée d’Avignon #2598

    Salut Gilbert,
    non ce n’est pas compliqué. Simplement ça ne tombe pas directement dans la même caisse… Mais je transférerai !
    Je serai à Paris dans le milieu de la semaine prochaine.
    Amitiés.
    Jean-Michel

    en réponse à : Restauration du portrait de Douliot, dit La Pensée d’Avignon #2591

    Un petit rappel du lien à suivre pour contribuer de quelques euros à la restauration du portait de La Pensée d’Avignon : https://www.bankeez.com/pot/4lF6

    Si chaque Coterie donne 5 à 10 euros, cela permettra d’alléger sensiblement la somme qui a été avancée par le Centre d’étude des compagnonnages — qui, rappelons-le, ne bénéficie d’aucune subvention publique et s’autofinance par les expositions et publications.

    Amitiés à tous.

    en réponse à : Marques compagnonniques de passage #2422

    Bonjour Hainaut,

    bien sûr que je connais le magnifique travail de Claude Oberlin ! Nous sommes en relation, suite à ma réédition du livre de Franz Ržiha sur les marques des Compagnons tailleurs de pierre germaniques, et j’espère bien que nous ferons quelque chose ensemble un jour prochain. Son site est superbe et manifestement, son exposition, que je n’ai pas encore eu l’occasion de voir, l’est encore plus.

    Amitiés à tous les Coteries de l’OND et d’Alsace.

    en réponse à : Marques compagnonniques de passage #2414

    Bonjour Damery,

    attention au circonflexe : avec, la tâche est un travail… sans, c’est quelquefois indélébile ! 😉

    Les marques qui m’intéressent dans cette recherche sont exclusivement les marques dites "de passage", c’est-à-dire celles que des Compagnons ont laissées sur divers monuments lorsqu’ils les ont visités. Les cas les plus célèbres sont celles du Pont du Gard et de la vis de Saint-Gilles. La majorité sont des marques laissées par des tailleurs de pierre, mais il y a aussi, sur le Pont du Gard et sur le Temple de Diane à Nîmes, des marques laissées par des Compagnons maréchaux-ferrants, menuisiers, fondeurs de cloche, etc. Elles présentent plusieurs types, mais la plupart comportent trois éléments : le nom (d’état civil et/ou compagnonnique) de l’artisan, la date de son passage, et la mention de sa profession (outil caractéristique du métier et/ou nom du métier). C’est donc très différent des marques dites "de tâcherons" et celles dites "de tailleurs de pierre", qui sont elles aussi très intéressantes mais qui n’entrent pas dans ma recherche du moment.

    Ci-dessous, deux exemples de ces marques compagnonniques de passage. Celles-ci sont exclusivement de tailleurs de pierre et figurent dans la vis de Saint-Gilles :

    Merci par avance à ceux qui pourront m’en signaler !

    Amitiés.

    en réponse à : Marques compagnonniques de passage #2412

    Bonjour Normand,

    il convient en effet d’être le plus précis possible, d’autant que le vocabulaire employé pour décrire toutes les marques que l’on peut rencontrer sur les pierres est souvent imprécis.

    Par signes lapidaires, j’entendais ici essentiellement les marques dites "de tâcherons", c’est-à-dire les marques que l’on rencontre à foison sur les monuments d’époque romane et beaucoup plus rarement ensuite. Elles représentent le plus souvent une lettre de l’alphabet ou une forme simple (pentagramme, croix, spirale, etc.). On peut y adjoindre les marques de pose, elles-aussi simples.

    En fait, j’ai employé ce terme imprécis pour exclure le plus gros de ce qui n’est pas des marques de passage, mais qui a été gravé par des tailleurs de pierre…

    Amitiés.

    en réponse à : Décè. #2392

    Les obsèques du Coterie Serge Rousselet, C. tailleur de pierre des Devoirs, auront lieu lundi 30 juillet à 9h au cimetière de Congénies (30). Ceux qui veulent lui rendre un dernier hommage avant sa mise en bière pourront le faire jusqu’à 8 h 30.

    Salutations à tous.

    en réponse à : nouvelle adresse #2204

    Eh non, ici et en ancien françois, fusterie veut dire charpente, tout simplement.

    Amitiés à tous.

    en réponse à : Destruction de la pièce de Réception de La Rigueur de Sète #2122

    Ça y est : des morceaux ont été retrouvés et la mairie est OK pour faire un enterrement façon "Bernhardt"… A suivre donc, un de ces jours prochains à Pézenas. Merci encore à tous ceux qui se sont mobilisés pour faire entendre raison à la mairie de Pézenas.

    en réponse à : Destruction de la pièce de Réception de La Rigueur de Sète #2118

    VICTOIRE ! Monsieur le Maire de Pézenas s’est enfin engagé publiquement, devant la caméra de FR3 Languedoc-Roussillon, à faire fouiller la décharge de Saint-Thibéry pour y retrouver au moins un fragment du chef-d’œuvre de La Rigueur de Sète… Il ne dit rien quant aux éventuelles sanctions prises à l’encontre du responsable de cette gabegie : le directeur des services techniques, qui a fait déplacer la pièce n’importe comment, malgré les réticences des employés municipaux, provoquant la casse, et qui, pour cacher sa bêtise, leur a demandé d’aller jeter les morceaux à la décharge ! Et n’a pas avisé le Maire ou qui que ce soit !

    Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir le journal télévisé du 14 mars avec l’interview de Madame Edith Fabre, la courageuse adjointe au Maire chargée du Patrimoine, qui n’a pas lâché prise et n’a eu de cesse de dénoncer ce scandale, et celle de Monsieur le Maire. On y entend aussi la voix de Frédéric Degenève.
    Nota : le reportage est annoncé en Une du JT, mais démarre seulement vers 14’30" après.

    http://www.pluzz.fr/jt-19-20-languedoc- … 19h00.html

    La mobilisation, ça paye ! L’enterrement de ce "Bernhardt" inhabituel sera l’occasion de, festivement et positivement, faire parler du Compagnonnage et des Compagnons tailleurs de pierre, de son actualité et de son avenir.

    Amitiés à tous !

    en réponse à : Destruction de la pièce de Réception de La Rigueur de Sète #2117

    Concernant la nécessité qu’il y a d’exprimer son indignation, voici un poème attribué au pasteur Martin Niemöller (1892-1984), un survivant de Dachau que j’aime à citer :

    Lorsqu’ils sont venus chercher les communistes
    Je me suis tu, je n’étais pas communiste.
    Lorsqu’ils sont venus chercher les syndicalistes
    Je me suis tu, je n’étais pas syndicaliste.
    Lorsqu’ils sont venus chercher les juifs
    Je me suis tu, je n’étais pas juif.
    Puis ils sont venus me chercher
    Et il ne restait plus personne pour protester.

    Ce texte illustre bien, dans un registre certes plus grave (mais justement : où commence ce qui est grave ?) que cette histoire de "caillou" de Pézenas, le glissement insensible, si l’on n’y prend garde, de l’indifférence vers la lâcheté, du tolérable vers l’intolérable, du "ça ne me concerne pas" au "je suis concerné moi aussi"…

    Loin de moi l’idée de vouloir donner des leçons ! Ceux qui me connaissent depuis longtemps le savent… C’est donc juste une sorte de "petit caillou" ramassé au fond de mes chaussures et fait de mots que j’offre à votre méditation.

    Amitiés à tous.

    en réponse à : Destruction de la pièce de Réception de La Rigueur de Sète #2115

    Eh les Coteries, on voit que la blessure est loin d’être cicatrisée ! Ma petite phrase n’avait rien d’une provocation, loin s’en faut ; simplement, vis-à-vis des « profanes », elle exprimait le fait qu’il convenait d’écarter d’emblée cette possibilité. Car aucun des nombreux messages (par mail, téléphone, commentaires sur mon blog, Facebook…) que j’ai pu recevoir au sujet de cette affaire ne peut me laisser penser que des Compagnons, de tous métiers et de toutes les sociétés, ne pouvait penser semblable chose ! Non, non, absolument aucun… A bien y réfléchir, je me demande même pourquoi j’ai pu éprouver le besoin de prendre cette précaution oratoire.

    Dans tous les cas, le sujet traité ici n’est pas de connaitre et comprendre tous les tenants et aboutissants de votre scission d’avec l’AO. C’est un sujet passionnant, sans aucun doute, et qui m’intéresse beaucoup, mais on ouvrira le débat ailleurs que dans ce post, si vous le voulez bien (un autre post ou un cadre plus confidentiel).

    Le sujet dont je parlais, au travers de l’exemple de la pièce de La Rigueur de Sète, est celui de la protection du patrimoine, en général, et du patrimoine compagnonnique en particulier. Je suis là pleinement dans mon rôle, l’historien se devant aussi d’être un acteur engagé dans cette protection et pas seulement un témoin qui planerait, tel un esprit désincarné, au-dessus des flots agités de ce bas-monde 🙂

    En colère ? Indigné est bien plus exact. Et cette indignation, j’entends effectivement la faire partager. Et il me semble que les Compagnons tailleurs de pierre, de toutes sociétés, se devraient d’être parmi les premiers à faire entendre cette indignation — d’autant qu’en la circonstance, ce ne sont pas eux, précisément, qui brandissent l’étendard et il n’est donc aucune raison de leur reprocher de prêcher pour leur paroisse.

    De fait, j’exprime mon indignation et celle de nombreuses personnes avec des phrases qui ne sont pas doucereuses. À chaque matériau son outillage adéquat… À la force d’inertie d’une municipalité capable de couvrir par son silence l’auteur d’un tel acte, on ne peut guère opposer (d’autant que cela a déjà été fait : lisez attentivement l’article) la demande courtoise et en privé de s’expliquer. Tailleriez-vous le granite avec une petite cuillère ? On peut toujours tenter la performance 8)

    Pour en revenir à l’affaire elle-même, la publication de l’article et la mobilisation qui s’en est suivi (et qui se poursuit), ont permis de faire surgir par bribes la vérité, qui n’était pas totalement connue d’avance (du moins pour ce qui me concerne). Nous disposons effectivement aujourd’hui de la plupart des détails, avec certitude. Et nous attendons que la mairie de Pézenas veuille bien en faire l’aveu sincère et complet. C’est, me semble-t-il, le seul moyen pour la ville de sortir grandie de ce scandale. Vu l’incroyable protection dont semble bénéficier le responsable de ce « malheureux accident », je ne publierai pas davantage de détails pour ne pas mettre en difficulté vis-à-vis de la hiérarchie municipale la personne qui nous les a communiqués. Il faudra donc attendre… ou me joindre par messagerie privée !

    À noter aussi que des Compagnons de toutes sociétés de la région de Pézenas sont avant moi montés aux créneaux, tant par coups de gueule que par le biais de relations amicales. Et qu’ils n’ont pas reçu de réponse… Une adjointe au maire s’est elle-aussi indignée et, devant l’absence de réponse claire, en a fait un malaise et a dû être évacuée de la mairie par le SAMU. Donc je ne pense pas que le ton de mon article et la virulence du buzz soient disproportionnés !

    Et pour conclure, j’insisterai sur le fait qu’il est important que vous preniez bien plus à cœur la préservation de votre patrimoine, tant ancien que celui qui, chaque jour qui passe, se constitue. Tant physique qu’immatériel. Il fait fondamentalement partie de la transmission… Oui, une maquette ou une pièce de Réception, ce n’est jamais que du caillou ne possédant de réelle valeur que pour celui qui a grandi grâce à ce travail. Non, ce n’est pas quelque chose sans importance qui ne mérite pas que l’on en prenne soin. Si vous ne vous mobilisez pas aujourd’hui pour exprimer votre indignation devant un tel ensemble d’actes (destruction, dissimulation et silence), dans la dignité et la mesure (que je sache, il n’est pas nécessaire d’agonir d’insultes la mairie de Pézenas), pourquoi voudriez-vous que demain d’autres se mobilisent pour sauver et mettre en valeur tel ou tel élément de votre patrimoine ?

    Amitiés sincères à tous.

    en réponse à : Destruction de la pièce de Réception de La Rigueur de Sète #2110

    Cher Régis,

    sur le fond, je suis tout à fait en accord avec toi : ce qui compte réellement, c’est ce qu’une telle pièce a représenté pour celui qui l’a réalisée, au moment où il l’a faite. Mais aussi ce que cela représentera, comme point de repère, pour ceux qui mettront leurs pas dans cette longue chaine de transmission des tailleurs de pierre. Une pièce de disparue, qu’importe quand dix viendront dans l’avenir la remplacer !

    Quant à la forme, je suis beaucoup moins d’accord…

    Laissons de côté le fait que La Rigueur de Sète n’a pas rejoint les rangs de l’Association de Compagnons Passants tailleurs de pierre : j’ose espérer que les différents entre sociétés ne volent pas si bas qu’on ne compatirait pas à un malheur survenu à un Coterie d’une autre société, même si je sais que le contentieux avec l’AO est lourd, même s’il semble aussi que ce Coterie s’est beaucoup détaché du compagnonnage.

    Reste le fait que les circonstances dans lesquelles s’est produit ce « malheureux accident » (dixit la mairie) sont en réalité connues et que seul le fait de ne pas nuire à l’une des personnes qui s’est trouvée contrainte à exécuter les ordres reçus, me pousse, pour l’instant, à ne pas tout dire sur mon blog. Toujours est-il que la pièce brisée ne se trouvait pas à l’état de gravats irrécupérables et que de toutes les façons, l’irresponsable de cette situation n’avait pas à décider, seul et sur le champ, de jeter à la décharge un bien communal… Oui l’erreur humaine existe, mais comme le dit la citation entière, persévérer est diabolique ! Et c’est en l’occurrence ce qui s’est passé ici : pièce stockée dans des conditions déplorables, manutention inadéquate, dissimulation des preuves de l’erreur. C’est beaucoup. Et d’une manière ou d’une autre, cela mérite correction.

    Entre sacraliser une telle pièce et s’en détacher comme s’il s’agissait d’un déchet, d’une crotte de chat qu’il faut s’empresser de recouvrir, d’une bêtise de gamin qu’on veut cacher, il y a un large éventail d’attitudes, au centre desquelles on trouve tout simplement le respect pour le patrimoine, lequel se fabrique chaque jour qui passe et n’est pas simplement jugé à l’aulne de son ancienneté ou de sa valeur artistique. Et ce respect me semble indissociable des valeurs que s’efforce de transmettre, depuis des siècles, le Devoir. Pas d’attachement quasi religieux, certes, je suis partiellement d’accord (étymologiquement le religieux, c’est ce qui relie). Mais pas d’accommodement non plus avec la bêtise, surtout lorsqu’elle risque, non sanctionnée, de mettre en péril d’autres éléments du patrimoine confiés à ses soins. Sinon, comme disait Alfred Jarry, « quand on passe les bornes, il n’y a plus de limites ». Et je me demande bien alors pourquoi le Compagnon se devrait de respecter certaines vertus — parmi lesquelles le courage, par exemple de dire haut et fort son indignation. Ne pourrait-on pas là aussi quelque peu s’accommoder ?

    Bien à toi.

    en réponse à : Voûte ellipsoïde scalène #2095

    Salut Savoyard,

    je n’ai pas de nouvelles récentes. Je vais le contacter et voir avec lui s’il a mis quelque chose sur le papier.

    Amitiés. A bientôt.

    en réponse à : Exposition « Stéréotomique ! » aux Baux-de-Provence #2045

    Bonjour les Coteries,

    l’inauguration de l’exposition « Stéréotomique ! » aux Baux-de-Provence aura lieu vendredi 8 octobre à 18 h 30. Les Coteries résidant dans la région ou en possibilité de venir sont bien évidemment les bienvenus… Merci toutefois de me prévenir de votre venue afin d’organiser au mieux l’inauguration (ou bien prévenir l’Office de Tourisme au 04 90 54 34 39).

    Salutations à tous !

    en réponse à : Epure de stéréotomie sur tissu #1925

    Les photos sont pour bientôt… Je dis "les" parce que c’est trop fin pour qu’une seule photo d’ensemble puisse donner une idée correcte de cette épure. Je ferai donc quelques vues de détail dès que j’aurai un moment.

    Et de voir ces quelques photos ne remplacera pas, de toutes les façons, le plaisir et l’intérêt de voir l’original, accompagné de la gravure du traité d’Adhémar, au gré de l’une des expositions sur la stéréotomie prévues pour les prochains mois. Pour commencer, elles seront présentes, avec bien d’autres documents intéressants, à Saverne du 28 avril au 6 juin.

    en réponse à : Saverne 28-29-30 mai 2010 / festival européen #1906

    Je venais battre le rappel pour le festival européen de la Pierre à Saverne, mais je vois que cela a déjà été fait. J’espère qu’il y aura là un maximum de Coteries et que l’honneur des Compagnons tailleurs de pierre, de tous les Devoirs, sera porté bien haut.

    Une précision, en attendant un article plus complet sur ce point d’ici peu de temps : je remonte à l’occasion de ce festival l’exposition sur la stéréotomie et la tradition des Compagnons tailleurs de pierre, dans le même format et la même qualité que celle qui avait eu lieu en 2007 à la Cité des Métiers et des Arts à Limoges. Elle aura lieu sur une durée un peu plus large que celle du seul festival de la Pierre : du 29 avril (inauguration le 28) au 6 juin.

    Amitiés à tous.

    en réponse à : Exposition sur Jacques Barozzi de Vignole (LE Vignole !) #1711

    Quelques photos de l’exposition « L’Ordre règne chez les maçons » au Musée du Compagnonnage de Tours sont visibles sur mon blog, à l’adresse suivante :
    http://compagnonnage.info/blog/blogs/index.php/2008/07/09/quelques-photos-de-l-exposition-lnl-ordr?blog=2

    A bientôt.

    en réponse à : Junas 2008 #1709

    Aïe ! Désolé de m’être fait attendre en vain… Retour de mon installation d’exposition à Tours seulement samedi soir. Et empêchement dimanche…

    en réponse à : Recherche sur les polyèdres en pierre #1656

    Je suis de plus en plus persuadé qu’il n’y a que deux explications possibles à cette similitude entre presque tous les polyèdres que j’ai vu pour l’instant (je dis « presque tous » et pas « tous » car il existe au moins un autre modèle, mais peu éloigné). Ces deux explications peuvent au demeurant se combiner :

    — c’est un exercice qui s’est transmis durant un certain temps au sein d’une société de tailleurs de pierre, à priori compagnonnique (je songe plutôt aux Étrangers à cause de la géographie qui semble se dessiner, mais cela n’exclut pas radicalement les Passants) ;
    — c’est un modèle qui figurait dans un recueil contemporain (début XIXe siècle) de modèles décoratifs pour la taille de pierre ou l’architecture, que de nombreux tailleurs de pierre de l’époque auraient connu. Mais je n’ai pas identifié ce recueil pour l’instant…

    En ce qui concerne cette seconde hypothèse, j’ai cependant une piste intéressante — qui recoupe d’ailleurs mes recherches sur l’origine historique du Maitre Jacques des Compagnons tailleurs de pierre (qui ne serait pas le même Jacques que celui de la plupart des autres corps) — mais elle est nettement plus ancienne et je me demande comment et pourquoi les tailleurs de pierre du début du XIXe l’auraient brutalement connue et reconnue.

    A défaut de solution immédiate, au moins c’est un problème stimulant ! 8)

    en réponse à : Nouvelle exposition « Stéréotomique ! » à Limoges #1621

    Pour tous ceux qui n’ont pas pu voir l’exposition « Stéréotomique ! » à la Cité des Métiers et des Arts à Limoges, un diaporama de 57 photos est visible sur mon site à cette adresse :
    http://www.compagnonnage.info/ressources/Diaporama-Limoges/index.htm

    Bonne visite virtuelle !

    en réponse à : Voûte ellipsoïde scalène #1578

    Merci pour cette réponse que je transmets au chercheur intéressé.
    Dans tous les cas, modèle Monge ou modèle Chaix, merci d’avance à tous ceux qui signaleront des réalisations de la voûte ellipsoïde scalène ou, comme Jérémie, qui me feront part de leurs observations.
    S.F.

    en réponse à : Exposition Stéréotomique ! Journées du Patrimoine #1574

    Bonsoir les Coteries,
    aussi bien pour ceux qui sont venus que pour ceux qui n’ont pu venir, voici le lien de l’album des photos-souvenir de l’exposition Stéréotomique ! 2006 au Poët-Laval (26) : http://www.stereotomique.info/exposition-2006/index.htm
    L’exposition sera à nouveau visible cet été, en version réduite, à l’abbaye de Corbigny (58) durant tout le mois de juillet. Elle sera également visible, en version largement amplifiée, à partir des Journées du Patrimoine et jusque fin octobre, à la Cité des Métiers et des Arts à Limoges (87).
    Plus d’infos sur toutes les expos auxquelles je participe durant l’été 2007 prochainement. A noter toutefois de suite sur vos tablettes : une exposition sur les éditions anciennes des Règles des cinq ordres d’architecture de Maître Jacques… Barozzi de Vignole, dit « Vignole ». De nombreux documents, dont le plus ancien ex-libris manuscrit d’un Compagnon tailleur de pierre, Mathurin Paulmier dit « L’Espérance le Tourangeau », qui a fait son Tour de France vers 1650-1655. L’expo s’intitule « L’Ordre règne chez les maçons » et elle aura lieu à Dieulefit (26) du 14 juillet au 10 août 2007, tous les jours de 15 h à 19 h. Je serai personnellement présent quasiment tous les jours.
    Amitiés à tous.

    en réponse à : Voûte ellipsoïde scalène #1572

    Une mauvaise manipulation et du coup le message précédent est anonyme… Je complète donc par ma signature !

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